Des bars unis contre la violence sexuelle
« “On a eu très peu, voire aucune résistance”, répond Patrice Allard de l’ASEQ. “On aurait pu faire affaire avec 152 bars, il y avait beaucoup de demandes, mais on s’est concentrés sur les bars dans les campus ou tout près pour s’assurer de contrôler l’efficacité du programme et d’offrir le support et la formation”. »