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La petite histoire d’une grande idée

Le Collectif social est un organisme à but non lucratif qui a pour mission de déployer et de soutenir la réalisation d’initiatives de nature communautaire ou sociale qui répondent aux besoins des jeunes de 18 à 35 ans. Il a été officiellement mis sur pied en 2020, mais ses racines – et les objectifs vers lesquels elles tendent – remontent à plus d’une décennie.

Depuis ses débuts, le Collectif se déploie, explore et expérimente en gardant en tête une maxime de son cru : « Rien ne se perd, mais tout se crée », une entourloupette maison à une citation apocryphe bien connue de Lavoisier.

Concrètement, ça veut dire quoi ?

Ça veut dire que le Collectif intervient sur les campus des établissements d’enseignement postsecondaire et dans tous les milieux de vie où les jeunes évoluent pour proposer, soutenir ou développer des solutions concrètes qui permettent de réduire les impacts des enjeux et des problématiques rencontrés par les communautés étudiantes et les jeunes adultes.

Nos activités reposent sur quatre principaux axes de développement :

Rendre les milieux de vie et d’études des jeunes plus sécuritaires, contribuer au développement d’une culture du consentement et favoriser l’intervention des témoins.

Nos engagements

Nos engagements, c’est un peu comme une promesse qu’on a faite avec nous-mêmes. Ce sont des principes et des valeurs qui nous tiennent à cœur et qui forment en quelque sorte l’essence même de tout ce que l’on fait.

Au Collectif, on considère que la participation et l’inclusion des diversités sous toutes leurs formes est un devoir humain fondamental. Cela étant, l’unicité des personnes et des communautés est aussi pour nous une source d’inspiration de tous les instants.

On travaille dans une perspective intersectionnelle pour s’assurer que nos actions tiennent compte d’une large gamme d’expériences et de vécus et qu’elles s’inscrivent en complémentarité avec les autres projets et initiatives déployés au sein de la société.

Par cet engagement, le Collectif social souhaite collaborer avec des organismes autochtones pour chercher à décoloniser ses pratiques et ses activités.

On veut également mettre en œuvre, à notre échelle, les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, de même que les appels à la justice du Rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.

On ne naît peut-être pas carboneutres, mais on peut le devenir ! Les activités du Collectif social s’étendent à travers le Canada. On rêve parfois d’enfourcher nos vélos pour aller offrir nos formations et nos programmes partout au pays, mais les exigences d’efficience du monde moderne rendraient le tout bien difficile. Qu’à cela ne tienne, on met en place des pratiques et des politiques respectueuses de l’environnement et on se soucie de l’impact de nos activités pour les générations futures.

Rigueur, rigueur, rigueur. C’est la devise à laquelle on revient systématiquement quand nos cerveaux s’emballent face à une nouvelle idée ou un projet innovant. On aime les choses ambitieuses, différentes et qui sortent de l’ordinaire, mais on se base toujours sur les meilleures pratiques et les données probantes pour bâtir nos programmes et nos activités.

Au Collectif, on ne prétend pas avoir réponse à tout. On teste, on expérimente, mais surtout, on travaille sur nous-mêmes. On cherche constamment à améliorer nos pratiques, à prendre conscience de nos angles morts et on n’a pas peur de l’inconfort que peut susciter la remise en question et la déconstruction des pratiques et des idées préconçues.

Au Collectif, on considère que la participation et l’inclusion des diversités sous toutes leurs formes est un devoir humain fondamental. Cela étant, l’unicité des personnes et des communautés est aussi pour nous une source d’inspiration de tous les instants.

On travaille dans une perspective intersectionnelle pour s’assurer que nos actions tiennent compte d’une large gamme d’expériences et de vécus et qu’elles s’inscrivent en complémentarité avec les autres projets et initiatives déployés au sein de la société.

Par cet engagement, le Collectif social souhaite collaborer avec des organismes autochtones pour chercher à décoloniser ses pratiques et ses activités.

On veut également mettre en œuvre, à notre échelle, les appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation du Canada, de même que les appels à la justice du Rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.

On ne naît peut-être pas carboneutres, mais on peut le devenir ! Les activités du Collectif social s’étendent à travers le Canada. On rêve parfois d’enfourcher nos vélos pour aller offrir nos formations et nos programmes partout au pays, mais les exigences d’efficience du monde moderne rendraient le tout bien difficile. Qu’à cela ne tienne, on met en place des pratiques et des politiques respectueuses de l’environnement et on se soucie de l’impact de nos activités pour les générations futures.

Rigueur, rigueur, rigueur. C’est la devise à laquelle on revient systématiquement quand nos cerveaux s’emballent face à une nouvelle idée ou un projet innovant. On aime les choses ambitieuses, différentes et qui sortent de l’ordinaire, mais on se base toujours sur les meilleures pratiques et les données probantes pour bâtir nos programmes et nos activités.

Au Collectif, on ne prétend pas avoir réponse à tout. On teste, on expérimente, mais surtout, on travaille sur nous-mêmes. On cherche constamment à améliorer nos pratiques, à prendre conscience de nos angles morts et on n’a pas peur de l’inconfort que peut susciter la remise en question et la déconstruction des pratiques et des idées préconçues.

La fabuleuse équipe derrière tout ça

Andréanne St-Gelais (elle)

Directrice générale

Gisèle Pouhe Njall (elle)

Directrice générale adjointe

Noémie Veilleux (elle)

Spécialiste - Prévention des violences sexuelles

Louise Cottereau (elle)

Chargée de projet

Charles Bélanger (il)

Chargé de projet

Inès Paschos (elle)

Agente de projet

Marilou Arsenault (elle)

Agente de projet

Florence Leboeuf (elle)

Agente de soutien

Benjamin Drainville (il)

Agent de soutien

Ketsmy Jean-Paul (il)

Coordination logistique

Sendie Semexant (elle)

Coordonnatrice administrative

Hannah Odaware (elle)

Stagiaire