19 septembre 2023
Florence Dujoux, Protégez-Vous
Consommation éclairée, Lutte contre les violences sexuelles
« "On a tendance à associer drogue du viol à GHB, alors que c'est très rarement le cas", affirme d'emblée Andréanne St-Gelais, directrice du Collectif social, un organisme de prévention des violences sexuelles chez les 18 à 35 ans (...). De plus, "il n'y a pas de profil type de gens qui commettent des violences sexuelles", rappelle Andréanne St-Gelais. Selon la trousse sur les agressions sexuelles de l'Institut national de santé publique (INSPQ), plus de 8 victimes sur 10 connaissent leur agresseur. Et rien n'indique que ce soit différent dans les cas d'intoxication involontaire. »