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8 avril 2024 Élisa Cloutier, Le Journal de Québec Commande un Angelot, Consommation éclairée, Lutte contre les violences sexuelles

Intoxications à la drogue du viol : les tenanciers de bar du Québec ouverts à distribuer des tests pour détecter le GHB

« C'est le cas, entre autres, du bar Le Jardin cocktails et bières, sur l'avenue Cartier, et du bar l'Atelier, sur la Grande Allée, où la cinquantaine d'employés a reçu la formation "Commande un Angelot" visant à lutter contre les violences sexuelles commises dans les bars. »
7 février 2024 Camille Carpentier, Radio-Canada Commande un Angelot, Consommation éclairée, Lutte contre les violences sexuelles

Offensive policière pour prévenir les intoxications à la drogue du viol

«Plus loin sur la Grande Allée, le propriétaire du restaurant L’Atelier est aussi intéressé par cette formation donnée par l’organisme Le Collectif social. Même s’il n’a recensé aucun cas de facultés affaiblies par le GHB dans son établissement, Jonathan Olat veut que son équipe soit prête à intervenir»
5 décembre 2023 Le téléjournal Est-du-Québec, Radio-Canada Commande un Angelot, Consommation éclairée, Lutte contre les violences sexuelles

Drogue du viol en hausse dans les bars de Sept-îles?

« Des employés vont suivre des formations pour prévenir la violence sexuelle (...). Les clients vont pouvoir commander un cocktail nommé "Angelot". Commander un "Angelot" ça signifie que la personne souhaite être accompagnée par le personnel du bar dans un lieu sûr. »
19 septembre 2023 Florence Dujoux, Protégez-Vous Consommation éclairée, Lutte contre les violences sexuelles

GHB et autres drogues du viol, comment vous protéger?

« "On a tendance à associer drogue du viol à GHB, alors que c'est très rarement le cas", affirme d'emblée Andréanne St-Gelais, directrice du Collectif social, un organisme de prévention des violences sexuelles chez les 18 à 35 ans (...). De plus, "il n'y a pas de profil type de gens qui commettent des violences sexuelles", rappelle Andréanne St-Gelais. Selon la trousse sur les agressions sexuelles de l'Institut national de santé publique (INSPQ), plus de 8 victimes sur 10 connaissent leur agresseur. Et rien n'indique que ce soit différent dans les cas d'intoxication involontaire. »